A l’heure où j’écris cet édito, le week-end Congrès Mission-Rentrée paroissiale n’est pas encore passé…
Ce cri de Jésus sur la croix au soir du vendredi saint me bouleverse toujours. Jésus meurt pour nous les bras ouverts, attendant la réponse de notre cœur si dur et si lent à la détente !
Ce sont ces deux phrases qui ont retenu mon attention en méditant les textes de ce dimanche ! D’abord la fierté et l’ambition de saint Jacques, qui, saisi par le Christ, constate que sa Foi le pousse à agir.
Le 28-29 septembre, nous serons tous invités à un congrès, à une assemblée extraordinaire réunissant chrétiens fervents pratiquants ou simples sympathisants.
Le Congrès Mission permet à tous les chrétiens de commencer leur année en choisissant de suivre le Christ et de I ’annoncer.
Aux souffrances qu’il endure, Jésus répond par la vertu de la patience. Il s’agit de supporter ce que l’on endure : ce n’est pas un hasard si la patience a la même racine que la
passion.
Spes non confundit, l’espérance ne déçoit pas, est le titre de la Bulle d’indiction du Jubilé ordinaire délivrée à l’Ascension par le Pape aux Églises des cinq continents.
Il y a 350 ans à Paray-le-Monial, Jésus découvre à Saint Marguerite-Marie le mystère de son Coeur, brûlant d’un amour passionné pour l’humanité et meurtri de nos indifférences.
C’est l’amour qui est le lien d’unité au sein de notre Dieu trinitaire. L’amour suppose toujours une relation entre personnes !
Chers paroissiens, vous avez donc appris où vous apprenez que je prendrai la relève de Don Antoine comme curé, à partir du 1er septembre !
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