« les dons de Dieu sont sans repentance… »
La parabole des talents est une invitation à prendre conscience de ses propres qualités et grandir en vertu. Mais faut-il nous en arrêter là ?
Cet auteur a déjà écrit sa bio.A ce propos, disons juste que nous sommes fiers que mjjp ait rédigé 406 entrées.
La parabole des talents est une invitation à prendre conscience de ses propres qualités et grandir en vertu. Mais faut-il nous en arrêter là ?
Les rendez-vous paroissiaux sont au centre St Jean XXIII sauf mention contraire
Dans le prolongement de la fête de la Toussaint et en vue de la fin de l’année liturgique qui nous fait toujours réfléchir sur la fin des temps, sur la vie avec Dieu, nous méditons aujourd’hui sur cette parabole bien connue de saint Matthieu : les dix jeunes filles qui attendent l’époux.
À la lumière de la fête de la Toussaint, arrêtons-nous un peu pour réfléchir sur la sainteté, en particulier sur deux caractéristiques de la vraie sainteté : un don et un chemin.
Nous allons l’entendre dans quelques jours, lors de la solennité de La Toussaint où l’évangile des béatitudes sera proclamé dans le monde entier, partout où l’Eglise est présente. Je pense particulièrement à la bande de Gaza où se trouve par exemple la paroisse latine de la Sainte Famille. Comment ne pas nous sentir proches, nous qui depuis l’an dernier avons le même saint patronage pour notre ensemble paroissial ?
« Le silence est le doux langage des anges, de tous les élus. Il doit être aussi le partage des âmes s’aimant en Jésus » – Sainte Thérèse de Lisieux –
Ni de radio, ni d’actualités sur internet, ni de tout ce qui consiste à recevoir des nouvelles de plus en plus dures de notre monde qui se trouve dans un tel état de guerre permanente…
Nous continuons à lire l’évangile de saint Matthieu en suivant le texte. Alors que ces derniers dimanches, c’était une histoire de vigne, aujourd’hui bien que l’on sente la continuité, il n’est plus question de vigne mais de noces ! Permettez-moi de relire le texte en posant quelques questions pour nourrir notre méditation.