À l’heure qu’il est, au moins dans nos contrées rhodaniennes, la moisson est terminée.
En cette fin d’année scolaire, faisons monter notre action de grâce envers Dieu. Nous avons tant reçu de Lui pendant cette année !
Dans la joie encore des premières communions, dont de nombreux adultes, écoutons le pape François, le 21 juin dernier, dans son discours au Comité d’organisation du Congrès eucharistique national des États-Unis en 2024.
L’évangile de ce dimanche (Matthieu 9,36-10,8) montre Jésus « saisi de compassion » (ému aux entrailles) voyant les foules « parce qu’elles étaient désemparées et abattues comme des brebis sans berger ».
« Ce qu’on ne peut comprendre et voir, notre foi ose l’affirmer, hors des lois de la nature. »
« Voici la nuit qui arrache au monde corrompu, aveuglé par le mal, ceux qui, aujourd’hui et dans tout l’univers, ont mis leur foi dans le Christ : nuit qui les rend à la grâce et leur ouvre la communion des saints. »
Jésus dit d’observer les deux sortes de gens dans la foule. Il avait prévenu qu’il allait entrer à Jérusalem.
Quand il arrive, il y a deux sortes de gens.
Ceux qui brandissent les palmes et ceux qui posent leur manteau pour faire le chemin pour Jésus. Ils se dépouillent un peu.
Alors que la Convention citoyenne sur la fin de vie se prononcera, semble-t-il, en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté, il est encore temps d’ouvrir les yeux sur ce qui est en train de se passer.