Nous connaissons bien cette réplique de Jésus qui fonde la distinction nécessaire entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel, qui légitime pour nous l’obéissance à l’autorité de l’Etat qui a pour mission de promouvoir le bien commun.
Le pape François a choisi de mettre sa troisième encyclique, Fratelli tutti, comme la précédente, Laudato si’, sous le signe de saint
François d’Assise.
Mardi, nous fêtions les saints archanges Michel, Gabriel et Raphaël et vendredi nous faisions mémoire de nos saints anges gardiens.
Vous l’avez peut-être vu passer sur les réseaux sociaux. Moi, on me l’a transféré plusieurs fois. La semaine dernière, un prêtre parisien de la paroisse de saint Germain des Prés écrivait dans l’édito de sa feuille d’informations paroissiales « le rêve du père Antoine » !
Décidément le Seigneur insiste lourdement, de dimanche en dimanche, sur la charité concrète entre frères. Après l’exhortation à la correction fraternelle dans la charité la semaine dernière, aujourd’hui le Seigneur attire notre regard sur une autre facette de la charité chrétienne : le pardon. Ce pardon doit, ou plutôt devrait être, la marque distinctive des chrétiens : Tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples à l’amour que vous aurez les uns pour les autres . Pardonner toujours, tout et tout le monde, tel est le programme que le Christ donne à Pierre et donc qu’il donne à l’Eglise et au chrétien.
Cette mission est à la fois un grand réconfort en même temps qu’une exigence qui nous dépasse.
D’abord pour les ordinations ces jours-ci : dans la communauté saint Martin : 27 diacres, dont Georges-Henri et Louis-Marie que vous avez connus ici ; 11 prêtres, en particulier don Etienne et don Charles, que vous connaissez également !