Jean-Baptiste nous pose cette question aujourd’hui : comment préparons-nous la venue du Seigneur ? Comment préparons-nous la venue du Seigneur dans notre vie ? dans
notre être ? Alors regardons les textes…
Le pape affirme : « je sens que c’est ce que le Seigneur veut que je dise : qu’il y ait une alliance entre jeunes et anciens. »
En ce dernier dimanche de l’année liturgique, nous fêtons le Christ-Roi de l’univers. Fête instaurée en 1925 par le pape Pie XI, d’abord célébrée le dernier dimanche d’octobre, puis déplacée lors de la réforme du concile Vatican II à l’ultime dimanche de l’année liturgique.
La parabole des talents est une invitation à prendre conscience de ses propres qualités et grandir en vertu. Mais faut-il nous en arrêter là ?
Dans le prolongement de la fête de la Toussaint et en vue de la fin de l’année liturgique qui nous fait toujours réfléchir sur la fin des temps, sur la vie avec Dieu, nous méditons aujourd’hui sur cette parabole bien connue de saint Matthieu : les dix jeunes filles qui attendent l’époux.
À la lumière de la fête de la Toussaint, arrêtons-nous un peu pour réfléchir sur la sainteté, en particulier sur deux caractéristiques de la vraie sainteté : un don et un chemin.
Nous allons l’entendre dans quelques jours, lors de la solennité de La Toussaint où l’évangile des béatitudes sera proclamé dans le monde entier, partout où l’Eglise est présente. Je pense particulièrement à la bande de Gaza où se trouve par exemple la paroisse latine de la Sainte Famille. Comment ne pas nous sentir proches, nous qui depuis l’an dernier avons le même saint patronage pour notre ensemble paroissial ?
Ni de radio, ni d’actualités sur internet, ni de tout ce qui consiste à recevoir des nouvelles de plus en plus dures de notre monde qui se trouve dans un tel état de guerre permanente…
Nous continuons à lire l’évangile de saint Matthieu en suivant le texte. Alors que ces derniers dimanches, c’était une histoire de vigne, aujourd’hui bien que l’on sente la continuité, il n’est plus question de vigne mais de noces ! Permettez-moi de relire le texte en posant quelques questions pour nourrir notre méditation.
Alors qu’il sortait d’une conférence morose ayant fait le diagnostic de tous les problèmes du monde et de la société, le philosophe Gustave Thibon se demandait : que peut l’initiative individuelle face à tant de maux qui ont pris une ampleur collective…