« Ce qu’on ne peut comprendre et voir, notre foi ose l’affirmer, hors des lois de la nature. »
« Voici la nuit qui arrache au monde corrompu, aveuglé par le mal, ceux qui, aujourd’hui et dans tout l’univers, ont mis leur foi dans le Christ : nuit qui les rend à la grâce et leur ouvre la communion des saints. »
Jésus dit d’observer les deux sortes de gens dans la foule. Il avait prévenu qu’il allait entrer à Jérusalem.
Quand il arrive, il y a deux sortes de gens.
Ceux qui brandissent les palmes et ceux qui posent leur manteau pour faire le chemin pour Jésus. Ils se dépouillent un peu.
Alors que la Convention citoyenne sur la fin de vie se prononcera, semble-t-il, en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté, il est encore temps d’ouvrir les yeux sur ce qui est en train de se passer.
« En passant, Jésus vit un homme aveugle de naissance. Ses disciples l’interrogèrent : « Rabbi, qui a péché, lui ou ses parents, pour qu’il soit né aveugle ? »
Jésus répondit : « Ni lui, ni ses parents n’ont péché. Mais c’était pour que les œuvres de Dieu se manifestent en lui.
En entourant nos chers catéchumènes ce matin pour leur 1er scrutin, nous méditons avec toute l’église cette rencontre magnifique entre Jésus et la Samaritaine.
Le Pape François, dans son message pour le carême, insiste pour que nous marchions ensemble vers Pâques.
Pendant le Carême, comme lors de la Transfiguration, nous sommes invités à monter “sur une haute montagne” avec Jésus, pour vivre avec le Peuple saint de Dieu une expérience d’ascèse particulière.
Chers frères et sœurs !
La maladie fait partie de notre expérience humaine. Mais elle peut devenir inhumaine si elle est vécue dans l’isolement et dans l’abandon, si elle n’est pas accompagnée de soins et de compassion. (…)